Ces témoignages déclinent la façon dont on s’enracine - ou pas- en Morvan. Il s’avère souvent que cette terre, réputée au premier abord plus fermée que d’autres, s’ouvre par l’intérieur.
Plus que d’autres, les paysages morvandiaux nécessitaient un détour par « l’intérieur », nourri d’enquêtes avec des habitants et de la lecture de grands auteurs morvandiaux. Ces perceptions ont tout d’abord fait l’objet de cartes, listes, textes, croquis, permettant de les confronter avec l’analyse des paysagistes de l’équipe. Ici convergentes, là en net décalage, elles n’ont cessé d’alimenter la réalisation de cet Atlas.
« Prendre conscience de notre paysage, cela nous aide à le prendre plus en compte dans toutes nos activités. Mais il faudrait mettre par écrit ce qui reste avant tout intuitif pour les gens du pays, au quotidien... » Un maire.
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